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 « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]

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Jude Taylor
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Jude Taylor


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MessageSujet: Re: « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]   « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= »  [PV Naoki le Gnocchi] EmptyLun 31 Mai - 15:47

    Ma jument était déjà poussée à fond. Pourtant, je resserrai avec douceur mes talons contre son flanc. L’écart entre les gardes qui me poursuivaient depuis maintenant presque un quart d’heure et moi se réduisait peu à peu. Il fallait que Sunburn, ma monture, accélère. Encore. Je jetai un coup d’œil par-dessus mon épaule. Bon sang ! Ils étaient plus rapides, et surtout, au nombre de trois. Moi, j’étais seule. Seule avec ma jument et mon cerveau de Mnésique.

    J’avais déjà eu de la chance de sortir vivante du château où j’avais fait une rencontre des plus étonnantes, avec Joey Jones, bras droit de Natan Jefferson. Le temps de récupérer Sunburn où j’avais été obligée de la laisser, trois types armés jusqu’aux dents, travaillant pour cet infâme Mage, m’avait identifiée en tant que rebelle. Un d’eux était un Médium, à mon avis. Je galopais sur un sentier en terre battue. Les alentours étaient verdoyants et parsemés de quelques arbres. Autrement dit, je n’avais nulle part où me cacher. Je devais absolument aller à Leichester, qui n’était éloigné « que » d’une quinzaine de kilomètres. Là-bas, j’avais des amis, et surtout, les gardes se feraient tuer dès qu’ils auraient franchi les limites du village. Je me penchai vers l’encolure de ma jument, pour lui murmurer afin de l’encourager les mots suivants :

    - Allez ma belle ! T’as fait la moitié du chemin ! Tiens bon !

    Je ne connaissais pas du tout les lieux. D’habitude, je passais par un autre chemin, plus sur, pour me rendre au village en question. Je me retournai à nouveau. Il n’y avait plus qu’un seul garde. Hein ? Quoi ? Où étaient passés les deux autres ? Impossible que je les ai semés, je m’en serais rendue compte avant, et surtout, je n’avais eu aucune chance de les distancer. En réalité, ils avaient pris connaissance d’un raccourci. Je m’en rendis compte au moment où ils déboulèrent devant moi, un à droite, un à gauche, barrant ainsi la route à Sunburn qui se cabra. Je bondis de la selle, tomba à terre puis effectua un roulé boulé, pour me relever presque aussitôt. Il aurait suffi que ma jument soit déséquilibrée pour qu’elle tombe sur le dos, m’écrasant de tout son poids et au passage, pour qu’elle me tue. D’où le saut que j’avais exécuté. Le seul problème était que j’étais désarmée. Mon épée m’avait été « confisquée » la matinée, au moment où je m’étais fait attraper par les gardes, puis emmenée au château.

    Par chance ; j’avais du être tombée à côté d’un ancien campement. Il y avait par terre une sorte de grande tige de fer, à peine rouillée, qui devait mesurer entre 1 m 50 et 2 m. Je la saisis. Elle me servirait pour me défendre, c’était mieux que rien. J’étais maintenant encerclée, je n’avais aucune chance de m’enfuir. Je regardai mes adversaires qui, eux aussi, étaient descendus de leur montures.

    - Le premier qui approche, je l’assomme !

    Sur ce, ils ricanèrent, se foutant majestueusement de ma gueule, et me répondirent, sans écouter mes « ordres » :

    - Tu nous fais peur, poupée !

    Le premier approcha. Il était roux, les cheveux courts ; et avait l’air d’un pitbull en colère. Il décrivit un arc de cercle avec son sabre qui m’aurait décapitée si je ne m’étais pas baissée à temps. Sur ce, avec mon arme improvisée, je lui donnai un grand coup dans les… Un coup bien placé, dirons-nous. Il se plia en deux de douleur. Aussitôt, j’enchainai par un second coup sur la nuque, qui le fit tomber au sol. Je ne l’avais pas assommé, mais il allait devoir attendre quelques temps avant de retrouver ses esprits totalement. Manque de chance. Les deux autres devaient être des Cogistes. Ils bondirent derrière et devant moi avant que j’ai le temps de dire ouf. Le premier m’avait passé une lame sous la gorge, le second avait sa lame pointée au niveau de ma poitrine. Celui qui me faisait face ouvrit la bouche, menacant, pour dire quelque chose mais…


[Et là notre ami intervient ♥️]
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Naoki Toyama
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MessageSujet: Re: « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]   « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= »  [PV Naoki le Gnocchi] EmptyLun 31 Mai - 19:48

[Mouahahaha Super Nao-kun <3 Gnochi toi-même. Nightmare - The World // Opening 1 de Death Note]

    Si ma vie avait autrefois été trépidante et pleine de rebondissements, je la trouvais actuellement ennuyeuse. Si j'avais rédigé une auto-biographie, je me serais trouvé bien embêté pour trouver une suite à mon roman. Qu'aurais-je bien pu raconter ? Des missions, dangereuses parfois, mais rien de palpitant. J'avais l'impression d'accomplir des tâches de plus en plus faciles. Bon, bien sûr, ce n'était pas le cas, mais l'habitude de prendre des risques me laissait penser à tort que je ne faisais rien de périlleux. J'avais tout de même frôlé la mort plusieurs fois, mais cela faisait presque partie de ma routine, maintenant. Si encore j'étais mort dans des conditions fantastiques, mais dans de simples poursuites après avoir été repéré...

    En bref, je m'ennuyais.

    J'avais décidé deux jours plus tôt de me rendre à Leichester pour demander à un de ces rebelles déterminés, qui avaient pris de l'importance dans le côté « Contre Jefferson » grâce à leur conviction dans leur quête, si je pouvais me rendre utile. La deuxième raison qui m'amenait à vouloir aller en ville était mon manque de compagnie. Les voyageurs solitaires avaient toujours l'air mystérieux et fascinaient les enfants à qui on narrait leurs aventures géniales ; malheureusement, le héros courageux et brave de leurs rêves ne devait pas exister, ou du moins à quelques détails près. En tout cas, jusqu'à maintenant, je n'avais croisé aucun « poor lonesome cowboy » qui se plaise dans sa vie de solitude. On remarquera que, dans toutes les histoires, le personnage principal est toujours accompagné d'un animal, un cheval la plupart du temps. Ces destriers (qui ne peuvent qu'être magnifiquement beaux, à la musculature développée de manière parfaite, et qui se doivent d'entretenir une relation hors du commun avec leur cavalier) ont de nombreuses qualités : ils rendent leur « passager » hyper cool et sont vachement pratiques pour les longues distances. Ils ont souvent leur heure de gloire en sauvant le héros à un moment de l'histoire. Attention, révélation au grand public : dans la réalité, ils ne sont là que parce que le fantastique cavalier se sent très seul et a besoin de parler à un animal pour ne pas plonger dans l'alcool et la déprime.

    Je me disais que j'aurais mieux fait de suivre leur exemple. Parce que, dans le cas actuel, j'avais beau faire comme je pouvais pour faire de nouvelles connaissances, je n'avais pas des masses d'amis. J'avais bien croisé cette Luna sur les falaises, qui m'avait semblé bien sympathique. J'en revenais, d'ailleurs. Et c'était bien le problème. Les chemins étaient longs, entre les villes, et j'avais épuisé tous les sujets de conversations avec moi-même. Peut-être qu'un cheval me donnerait plus d'inspiration ? Mouais. Bof. En fait, je n'avais pas très envie de m'encombrer d'un animal - ô charmant ! mais prenant ô combien de place ! - alors que, grâce à mes capacités de Cogiste, je pouvais très bien courir pendant de très longues distances sans problèmes. Par exemple, comment pourrais-je me cacher dans les arbres ou derrière des buissons, si jamais des Mnésiques de l'armée capables de me reconnaître approchaient et que je voulais me dissimuler à cause de leur nombre trop important ? Bon, ça avait des avantages et des inconvénients. Quand des soldats arrivaient tous avec des chevaux surentrainés et me pourchassaient, j'avais parfois du mal à les semer.

    Ce sujet parvint à m'occuper pendant environ un quart d'heure. Puis je me trouvai à court d'idées. Ravi d'avoir pu passer le temps aussi facilement, je me félicitai intérieurement. Bon. Trouver autre chose pour s'occuper. Je me mis à la recherche de mots idéaux pour le jeu du pendu, avec le plus de lettres difficiles possibles. Jusqu'à maintenant, le meilleur que j'avais trouvé était « asphyxie ». « Mayonnaise » était pas mal aussi. Un jour, il faudrait que je les teste, tout de même. « Pyjama », « puzzle », « topaze », « mystique »... J'étais sûr d'être incollable, en tout cas.

    J'aurais pu continuer très longtemps mes stupides divagations, mais les échos d'une conversation assez animée me tirèrent de ma torpeur. Je restai immobile le temps de cligner naïvement - voire stupidement - des yeux, puis me décidai à faire un petit détour pour voir de quoi il retournait. Avec un peu de chance, j'allais avoir l'occasion de secourir une enfant, ou un vieux pépé (quant à choisir, je préférais la mignonne petite gamine). Au pire, je tombais sur deux soldats qui se criaient dessus à cause d'un désaccord.

    Je sortis de la route principale et m'approchai de la scène sans bruit. Je grimpai en haut d'un arbre avec un silence hors du commun - normal, j'étais Cogiste -, l'escaladai rapidement, puis me perchai sur une branche à hauteur moyenne. J'étais à une distance modeste du petit groupe de personnes, qui, je le compris du premier coup d'oeil, était composé d'une jeune femme ô combien ravissante (j'avais de la chance, ce n'était pas un papy) qui m'avait l'air bien en difficulté face à deux Cogistes (facile à voir ; leur agilité à combattre était inimitable) et un... euh... roux. En fait, il ne faisait plus vraiment partie de ses adversaires. Si j'avais légèrement eu du mal à l'identifier, c'était parce qu'il venait de s'effondrer lourdement à terre suite à un violent coup à la nuque. Et voilà que notre inconnue était aux prises avec les deux hommes, qui dominaient largement le combat. Avec un petit sourire mi-amusé, mi-satisfait sur le visage, je me laissai tomber silencieusement sur le sol. Absorbés par leur lutte, aucun ne me remarqua. Je marchai tranquillement jusqu'à eux, sans faire craquer une seule brindille. Une fois que les arbres ne m'aient plus offert aucune cachette, autrement dit à quelques mètres des combattants, je pris une brusque accélération et me ruai sur le premier homme. Il ne put se tourner qu'à moitié. J'étais déjà sur lui en une fraction de seconde. Prenant avec « délicatesse » l'arête gauche de sa mâchoire au creux de ma paume et le haut droit de son crâne de l'autre main, je lui tordis brutalement le cou. Il s'effondra sur le sol, plus ou moins vivant. A quoi bon se servir de son katana lorsqu'on peut se débrouiller sans ? Je caressai distraitement sa poignée l'espace d'un instant.

    Les deux personnes restantes tentaient de rester concentrés, pour finir le plus rapidement leur lutte et enfin pouvoir jeter un coup d'oeil en arrière et découvrir mon identité (dans le but éventuel de s'occuper de moi). Je voyais néanmoins qu'ils me surveillaient comme ils le pouvaient, prêts à l'éventualité que je les attaque par derrière. Je trottinai vers eux d'un air guilleret et me plantai à leur droite, observant leur lutte de l'air naïvement intéressé qu'adoptent les enfants lorsqu'ils sont intrigués par quelque chose qu'ils ne connaissent pas. La femme avait été dépourvue de son arme (même si elle était très agile, je doutais qu'elle ait pu survivre jusqu'à maintenant sans aucune aide matérielle), mais elle se débrouillait plutôt bien, vu sa situation. L'homme avait un sabre. Me balançant d'avant en arrière, les mains jointes dans le dos, j'attendis encore quelques secondes. Le temps d'avoir la confirmation de mes pensées : j'avais en face de moi une Mnésique. L'entaille qu'elle avait reçue au bras gauche n'avait toujours pas disparu : ce n'était pas une Guérisseuse. Je connaissais très bien la façon de se mouvoir des Cogistes, et elle ne la possédait pas. Un Métamorphe aurait pris sa forme animale depuis belle lurette, vu l'état précaire de la situation. Ce ne pouvait bien sûr pas être un Mage. Une hybride m'étonnerait beaucoup. Mais ce qui m'avait posé le plus de problème, c'était la possibilité que ce soit une Medium. Mais non, ce n'en était pas une. Elle n'arrivait pas à prévoir certaines des attaques de son adversaire, mais je voyais dans sa technique de combat qu'elle anticipait tout à l'avance (mon expérience, ne pas chercher). Si je m'étais trompé, je me serais senti très vexé.

    Je me décidai enfin à intervenir. Arrêtant mes balancements incessants, je sortis d'un geste fluide et vif le katana qui pendait à mon côté, et le brandis en avant. Un dixième de seconde plus tard, j'étais entre l'homme et la femme. En gratifiant mon nouvel opposant d'un grand sourire, j'arrêtai avec le plat de l'épée son coup de sabre, et contre-attaquai aussitôt. Lorsqu'on se battait avec un Cogiste, il y avait des règles à suivre, qu'on soit de cette même race ou non. Un Cogiste était infatigable, et il ne fallait surtout pas chercher à rivaliser en endurance. Il fallait soit l'avoir à la surprise, ce qui était la meilleure solution mais de loin la plus souvent possible, soit le prendre de vitesse. Mettre fin à l'affrontement le plus rapidement possible. L'homme était plus vieux que moi, plus expérimenté et sûrement plus puissant. Je devais mettre mon avantage de la surprise à profit dans l'instant s'il était lent à la détente, et ne pas lui laisser l'occasion de reprendre ses esprits.

    Tout cet enchaînement de pensées s'était déroulé dans ma tête plus tôt, aussi n'avais-je pas eu à beaucoup réfléchir. Je venais de stopper son attaque lorsque je repris l'offensive. Je fis glisser ma lame le long de la sienne et avançai aussitôt mon katana en avant. Manque de bol, il n'était pas deux de tension. Il se décala sur la gauche au dernier moment, et ma lame se contenta de lui entailler assez durement le biceps. Il s'attendait sûrement à un bon vieux combat à l'épée. Il feinta de vouloir me planter son arme dans le cœur mais dévia au tout dernier moment pour s'attaquer à mon épaule. J'esquivai habilement et, dans le même mouvement, lui assénai un violent coup de pied à la mâchoire. Il recula en vacillant. Une seconde plus tard, il serait sur pied. Je ne lui laissai pas ce laps de temps. Pivotant rapidement sur mon pied encore au sol, j'envoyai mon talon dans son plexus solaire. Et je l'achevai d'un coup de katana bien placé.

    Je retirai la lame de mon arme d'un coup sec. Le Cogiste s'écroula au sol, et y resta. Je me redressai pour attraper une poignée de feuilles d'érable, avec lesquelles je nettoyai comme je pus le sang sur la lame avant qu'il ne coagule. Une fois passablement propre, il fut remis à sa place, pendant à mon flanc.

    - Naoki Toyama, sauveur professionnel de jeunes filles en détresse, homme hyper gainé et musclé, enchanté de vous connaître, me présentai-je en tendant ma main à mon interlocutrice. Je crois qu'on se connait ? Ne seriez-vous pas une jeune fille - Mnésique - en détresse professionnelle ayant l'habitude de se faire sauver par des sauveurs professionnels de jeunes filles en détresse hyper gainés et musclés ?

    Bon. Si on y réfléchissait bien, ce n'était peut-être pas la meilleure manière de se faire des amis. Pas ma faute, ça sortait tout seul.
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Jude Taylor
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MessageSujet: Re: « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]   « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= »  [PV Naoki le Gnocchi] EmptyMar 8 Juin - 11:00

    Une ombre parmi les arbres attira mon attention. Très discrètement, mes yeux quittèrent ceux de mon nouveau copain avec qui j’allais certainement m’entendre à merveille, pour confirmer ce qu’il m’avait semblé apercevoir. Il y avait quelqu’un de caché. Un homme d’après moi, mais à cette distance, et sans pouvoir le fixer, je n’étais sure de rien. Avec un peu de chance, il serait assez gentil pour m’aider à me sortir de cette situation délicate. J’avais toujours eu le don de m’attirer des ennuis, depuis toute petite. Je me serais d’ailleurs bien passée de ce cadeau de Dame Nature. M’enfin bon. Etant donné qu’aujourd’hui, j’étais toujours vivante, je pouvais également ajouter que j’avais le don de me sortir de ces situations. Ou sinon, j’avais tout simplement une chance extraordinaire.

    La suite des événements se déroula tellement vite que je sortis de mes pensées. L’inconnu se décida de passer à l’action. Il se révéla être un Cogiste et… Et pour faire simple, il massacra mes agresseurs. Je pus enfin voir qui il était. Oh ! Je le connaissais ! J’en étais certaine. Ma mémoire ne me faisait jamais faux bond, ce qui était plutôt rassurant, vu que j’étais Mnésique. Je reculai du cadavre des soldats, je ne tenais pas tant que ça à rester plantée dans leur sang qui s’écoulait lentement – mais surement – dans l’herbe grasse.

    Mon super héros, Naoki Toyama – car c’était là son nom – pris la parole en premier. En plus, il se souvenait de moi. Pas forcément de mon nom, contrairement à moi, mais c’était déjà ça, il ne pouvait pas tout faire non plus. Je l’avais croisé deux trois fois dans des villages rebelles et nous avions parlé un peu. Il se présenta – c’était inutile, mais sympathique – d’une manière des plus originales. Je lui souris, et, étant donné que je n’allais lui foutre de vent (ce serait une drôle de façon de le remercier), je lui serrai la main qu’il me tendait, pour lui répondre :

    - Jude Taylor, passée professionnelle dans l’art de s’attirer des ennuis, et ayant effectivement l'habitude de se faire sauver par des sauveurs professionnels de jeunes filles en détresse hyper gainés et musclés, d’ailleurs, merci beaucoup. Je suis bien Mnésique et… Oui on se connaît.

    Sur ce, je me souvins de ma jument. Je fis un demi-tour et l’aperçut. Heureusement, elle n’était pas bien loin. La dernière fois qu’elle s’était sauvée d’une telle sorte, j’avais passé deux heures à me les geler – il neigeait -, dans la nuit, pour la retrouver. Je joignis mon index et mon pouce dans ma bouche afin de siffler. Sunburn, qui broutait comme si de rien était, m’entendit et me rejoignit, au petit trot. A vrai dire, elle était jeune, tout juste quatre ans. Elle n’était pas encore réellement adulte, donc. Je l’avais eu toute petite, quand elle n’était encore qu’une pouliche, et la dresser m’avait été un agréable passe-temps… Qui me libérait également des idioties de mes frères adoptifs, mais c’était comme ci, que je regrettais plus que tout aujourd’hui, maintenant qu’à une exception près, ils étaient tous morts…

    Je remontai en selle, sans bouger pour autant, et me penchai pour caresser l’encolure de ma jument. Vu la proximité du jeune homme, songeais-je, il devait surement aller à Leichester. Ou en revenir. Si ma première hypothèse était la bonne, nous pourrions faire route ensemble. Un peu de compagnie n’était pas de trop. Je ne dis pas, ma monture aurait pu participer à mes débats avec moi-même, ça aurait été différent. C’est ce que je lui demanda donc, d’une manière un peu… Détournée.

    - Vous alliez à Leichester ?
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MessageSujet: Re: « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]   « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= »  [PV Naoki le Gnocchi] EmptyJeu 10 Juin - 20:25

[Et voilà, je m'inscruste donc, merci encore pour l'invitation ^^ ]

L'univers recèle une infinité de mystères. Des trucs proprement hallucinants comme des types qui peuvent se transformer en monstres poilus aux crocs acérés ou en petits oiseaux piailleurs. Un peu la loose quand même pour les seconds, mais on ne peut pas tout avoir n’est-ce pas. Il y a aussi les Mages, capables de tout dévaster cent mètres à la ronde juste en claquant des doigts. J’en passe et des meilleures. Une mer d’énigmes tortueuses… sur lesquelles je me serais volontiers penché plus avant pour juguler l’ennui mortel des journées qui se suivent et se ressemblent… et se ressemblent… et se… vous m’aurez compris… je disais donc, un fatras de questions alambiquées sur le sens de la vie et le pourquoi du comment de ce bordel, qui m’aurait donné l’occasion de penser à autre chose que le vide intersidéral de nos saintes journées ici bas, pour peu qu’un autre mystère titanesque ne me soit tombé sur le coin de la tronche au beau milieu d’un chemin de rase campagne que j’arpentais apparemment depuis un sacré moment… du moins à en croire mes augustes pieds qui me faisaient un mal de chien sur l’instant.

Un mystère ? Trois plus exactement. Une sainte trinité qui se résumait en ces termes : Bowie, qu’est-ce que tu fous à clopiner pieds nu au milieu de nulle part attifé comme une entraineuse de cabaret, s’il te plaît ? Il va de soi que je me questionnais mentalement. J’avais déjà l’air assez con comme ça, autant ne pas en rajouter si possible en me causant tout seul. Personne à l’horizon mais sait on jamais… ici, on apprend vite que les murs – ou les buissons alentours, le cas échéant – ont des oreilles et que mieux vaut donc la boucler si l’on n’est pas certain d’être en sureté. Soit le principe entre vite au palmarès des vieilles habitudes… soit c’est la mort assurée. Avec longues séances de torture amoureusement administrées par les sbires du sire Jefferson, voire le maître lui-même si vous êtes vraiment un cas intéressant. Non merci, très peu pour moi, je me sens plutôt bien avec tous mes membres attachés au corps mais c’était gentil de proposer. Bref ! En ce qui concernait mon problème actuel, qu’à vu de nez je nommerai robe-blanche-semi-transparente-sacrément-décolletée-taille-38-du-coup-je-me-sens-un-peu-serré-quand-même… pas besoin d’être sobre – et heureusement car j’étais loin de cet état – pour déduire que la responsable était la bouteille de whiskey pratiquement rétamée qui pendait au bout d’un des mes bras. Tiens ! Sa jumelle attendait sagement qu’on lui fasse un sort aussi, du côté opposé à sa sœurette trépassée. Que la vie est cruelle. Ne t’en fais pas ma belle, tu n’auras longtemps à te lamenter avant d’aller la rejoindre de l’autre côté, je te le promets. En l’occurrence, pas de Paradis pour toi mais le fond de mon estomac. En revanche, pour moi, un avant goût du jardin d’Eden peut-être. Si je force assez sur la dose, les arbres se mettront surement à danser, je parlerais aux chenilles et je m’appellerai… Alice, pourquoi pas, ça sonne bien. J’ai déjà une tenue appropriée qui plus est. Que demande le peuple ?

Achevez le rituel dans l’ordre Monseigneur, ne précipitez rien, finissez de vous occuper de la première de vos petites amies du soir. Voyons, où est passé votre sens de la politesse et votre galanterie ? C’est cela oui mon bon ami, tout va bien, tu te fais des monologues qui tournent au duo aristocratique avec toi-même… voilà qui annonce une nuit bien partie, je te le garanties. Quitte à être ridicule et pathétique, autant l’être à fond, allons y gaiement, songeais-je en avalant d’un trait ce qui nageait encore au fond du cylindre de verre. Je manquais de m’étouffer avec ma gnole en entendant soudain des clampins beugler plus loin sur le chemin. Qui menait toujours je ne sais où, mais perdait tout à coup de son charme glacial du à l’atmosphère de cimetière fantomatique au pesant silence que je me tapais jusqu’ici. Est-ce que le genre d’animation que sous entendait des voix tendues plus celle d’une femme, semblait-il, correspondait vraiment à une amélioration merveilleuse et inespérée de la situation ? Là encore, pas besoin d’être sobre ou de mon sixième sens de mes deux pour trouver dare-dare la réponse : Oh. Que. Non.

Deux options. Numéro 1, et sans nul doute la plus intelligente, la plus sûre, la plus Bouddha pousse toi de là que je m’y mette le roi des sages maintenant c’est moi : me tirer vite fait de cet endroit qui commençait méchamment à puer. La seconde, qui jouait plus dans la catégorie Allez quoi, t’es un homme nom de Dieu… malgré ta tenue douteuse et ton air de jouvencelle mielleuse, bien entendu… t’as des corones, vas voir ce qui se trame là bas, me commandait donc de prendre des risques inconsidérés. Devinez laquelle j’ai choisie en mon âme et conscience un peu trop abîmées par les vapeurs d’alcool ? Tout juste Auguste, la panade. Enfin ce qui aurait du être une mouise de belle taille, sachant qu’en tout et pour tout, mon arsenal de défense se limitait à un bout de tissu si court qui aurait fait rougir de honte une fée dévergondée et deux litrons en verre. M’est avis que le tout n’aurait pas pesé lourd face… à ce qui était désormais, d’aussi loin que je pouvais en juger à plusieurs pas de distance, des… cadavres. Je vais peut-être m’approcher un peu hein, histoire de confirmer mes hallus. Costaud le whiskey de contrebande des pégus du coin ma foi. Je m’en souviendrais à l’avenir. Ah tiens… y en a encore deux sur leurs pieds. Chaussés, eux. Qui taillent le bout de gras l’air de rien à côté des carcasses inanimées que je vois toujours au sol… Bien, bien… je ne vais pas chercher à comprendre pourquoi une jolie brindille blonde et un jeune homme typé asiatique sont sur le point de prendre un thé avec décor macabre en toile de fond. Non je ne vais pas faire ça sinon un anévrisme risque de me péter dans le cerveau et ça n’arrangerait pas mon cas si j’ai le malheur d’y survivre et de me réveiller. De loin pas. Le mieux je crois, ce serait de rebrousser discrètement chemin et de chercher à voir si mon don médiumnique peut m’aider à retrouver ma baraque quand je suis totalement bourré. J’en doute fortement, notez, mais pour une fois, cette saloperie pourrait éventuellement montrer quelque effet positif. Ce serait sympa. Ouais, arrêtes de rêver.

Et arrête aussi de te dandiner sur place en les fixant comme un débile profond, ce serait pas mal non plus. A moins de vouloir qu’ils te repèrent et que la cohorte habituelle d’emmerdements taille monolithe préhistorique ne suive les présentations d’usage avec un temps de latence bien trop réduit à ton goût. C’est pas comme ça qu’on se casse Bowie, souviens toi. Demi tour et pas vu pas prit. Ca te rappelle quelque chose ? Ou pas. Puisque je reste toujours planté là, leur conversation entrant par une oreille, tournant dans mon cerveau embrumé et ressortant aussi sec par l’autre côté. On dirait que j’attends le Messie, l’Annonciation ou allez savoir quoi. Bon. Mode fougère donc. Je suis un caméléoooon. Ils ne me verront pas. C’est sûr. Camouflé je suis. Invisible et tout le barda. Suffit d’y penser très fort et ça marchera… ou pas.
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Naoki Toyama
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MessageSujet: Re: « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= » [PV Naoki le Gnocchi]   « I must run if I don't want ... Me faire découper en rondelles =____= »  [PV Naoki le Gnocchi] EmptyLun 14 Juin - 21:48

[Haruhi Suzumiya - God Knows]

    Visiblement, mon interlocutrice possédait l'objet de mes... anciens rêves (avant que je ne m'en rende compte qu'ils étaient stupides et inconsidérés, étant donné que, comme tout Cogiste qui se respecte, je n'avais pas besoin d'un quelconque moyen de transport) : un cheval. Enfin. Visiblement. C'était un euphémisme : elle venait de monter dessus, alors il était assez difficile de s'imaginer qu'il ne lui appartenait pas. Quoique. Peut-être l'avait-elle volé à l'un des soldats (qu'ils reposent en paix) ? Peu probable. Ils auraient tous été cavaliers pour avancer à la même vitesse, dans ce cas. Et si toutes les bêtes avaient été volées le jour précédent, sauf celle-là ? Mais Jude n'aurait pas mis pied à l'étrier avec un air tellement naturel... Et puis, l'animal aurait dû s'enfuir...

    - Vous alliez à Leichester ?

    Je me résolus à défroncer les sourcils pour les hausser légèrement en guise de surprise. Voilà ce que c'était, de se perdre dans un labyrinthe tortueux de pensées futiles. Je me visualisai dans un immense dédale, avec un air très concentré face à un plan derrière lequel je disparaissais, alors que la sortie était juste derrière moi, et j'éclatai franchement de rire. En oubliant malencontreusement qu'on venait de me poser une question et qu'on attendait tout naturellement une réponse. Super. Moi qui venais de me faire une amie, j'allais la perdre en deux temps trois mouvements sans avoir le temps de cligner des yeux. Heureusement qu'elle avait l'air aussi bizarre que moi (dans le cas contraire, elle n'aurait pas marché dans mon jeu lors des présentations) Quand je parvins enfin à reprendre le contrôle de moi-même, l'expression interdite de Jude déclencha en moi une nouvelle crise d'hilarité. Une fois que j'eus ri tout mon saoul, je pus enfin me concentrer sur l'interrogation de la jeune femme. Donc. Euh... Leichester ? Oui, j'étais censé y aller. Ou peut-être devais-je aller aux falaises ? Ah non, je m'y étais rendu deux jours auparavant.

    - Euh... Oui. Oui, c'est ça, répétai-je comme pour confirmer l'information. Pourquoi, toi aussi ? T'aurais envie de te faire accompagner par un sauveur professionnel de jeunes filles en détresse, hyper gainé et musclé, qui passerait par là ?

    J'avisai du coin de l'œil un mouvement insolite à ma droite. Analyse de la situation. J'avais cru voir un éclat blanc. Or, il n'y avait pas trente-six mille animaux blancs qui s'amusaient à passer dans les buissons. Je voyais mal une colombe passer par là, à cette heure tardive qui plus est. Peut-être une chouette qui s'était lamentablement croûtée dans un fourré suite à un problème technique qui ne regardait qu'elle. Ou un lièvre au pelage immaculé qui faisait du saute-moutons avec des fougères. Bon. Un seul moyen de le savoir : se retourner. Pourquoi avoir perdu son temps en hypothèses abracadabrantes alors qu'il suffisait d'exécuter un infime mouvement de tête vers la droite, hein ? Mais où va le monde ?

    Je fis donc volte-face, après un temps de réaction ridiculement long. J'espérais simplement que, le jour où il s'agirait d'une armée de soldats venus très gentiment me dire coucou, j'allais réagir plus promptement. Je mis donc ça sur le compte de la fatigue (ce qui était stupide, vu que j'étais un Cogiste censé être très endurant).

    Mes illusions volèrent en éclat. Ce n'était pas plus une chouette atrophiée ou un lièvre rigolo qu'un hippopotame blanc venu poser un étron dans l'herbe. Il s'agissait d'un... homme. Un peu vacillant, certes. Son taux d'alcoolémie devait être impressionnant. Mais peut-être qu'il était juste un peu pompette ! Il ne faut jamais juger sur les apparences.) Il tenait une bouteille vide dans une main, et une pleine de l'autre. Il venait donc de s'enfiler un litre d'alcool. Respect. Personnellement, je ne tiens pas l'alcool. Mais alors pas du tout. Essayez donc de me faire boire deux verres de vin, et je serais capable d'aller hurler des chansons paillardes à l'oreille de Jefferson à poil, si on me le demandait. Et je dis ça en connaissance de cause.

    Je fronçai le nez. L'inconnu avait-il une envie pressante d'aller aux toilettes ? Il se trémoussait sur place de la même manière qu'un enfant timide qui n'osait pas demander la permission d'aller au petit coin. Il fallait que je révise ma définition de "pompette".

    Autre détail, que j'aurais dû remarquer plus rapidement que son drôle de maintien : il était vêtu d'une manière singulière. Ce petit habit blanc m'avait l'air bien trop serré pour une personne de sa carrure. Chacun ses goûts, mais j'eus une soudaine poussée d'affection pour mon jean innocent et mon tee-shirt assez large pour que je puisse me mouvoir à mon aise.

    - Eh bien... Bien le bonjour, monsieur au regard vitreux, dis-je avec un grand sourire.

    Après tout, une rencontre restait une rencontre, que ce soit avec une personne totalement bourrée ou non.


[Pas le temps de développer et de faire plus, désolée ^^"]
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[On fait quoi? :/. J'ai supprimé Bowie. A la limite on peut continuer et dire qu'il est parti sans demander son reste... Ou déplacer le sujet, à toi de voir.]
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    [Gomen j'avais pas vu ><
    On peut reprendre le post là où il en était, ou en faire un autre en disant qu'ils se recroisent après coup.. Je suis plus pour la deuxième, mais comme tu veux x) ]
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[Nan. C'moi qui ai fini sur ce post, c'est à toi de commencer, mwahahaha xD Je verrouille ~]
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